Le 7/11/2017

L’AVENIR DU RÉGIONALISME, C’EST LE BIOSPHÉRISME (pdf)
Il est temps de bâtir une nouvelle société de paix et de progrès pour tous les peuples de la planète

Depuis 1989, «Biosphère Pour Demain» prépare l’avènement de la «civilisation de paix du troisième millénaire» avec un programme et des actions fortes, cohérentes, adaptables à toutes les régions et à tous les pays. Les citoyens du monde qui souhaitent améliorer leurs institutions et faciliter le travail de leurs dirigeants peuvent trouver des opportunités de façonner une société génératrice d’un progrès partagé, respectueuse de leurs diversités et des limites de la planète, et générateur de bien-être par-delà les frontières.
Quel que soit également le régime politique en vigueur, ces actions, qui peuvent être amorcées à partir d’une région ou d’un État, sont marquées systématiquement par le sceau de la fraternité citoyenne, de la coopération politique et de la non-violence à tous les niveaux.
Le «biosphérisme» est une nouvelle façon d’envisager l’avenir politique, économique et social de la communauté humaine. C’est une solution réaliste face aux errances politiques et aux aberrations économiques qui ont marqué le XXesiècle en générant un désarroi profond au sein de nos civilisations.

Toujours plus, pour une oligarchie criminelle, dans un monde de conflits et de spoliations,
c’est le «libéralisme».
Seulement l’utile, pour des citoyens bâtisseurs dans un monde de paix et de sobriété,
c’est le «biosphérisme».
Face à un libéralisme réducteur et destructeur,
il est temps d’organiser un biosphérisme bâtisseur et salvateur.

 

La démarche de Biosphère Pour Demain a pour ambition
de remplacer la politique mortifère du «nouvel ordre mondial» par son exact contraire.

Le «nouvel ordre mondial» transforme l’Occident en un vecteur de déstabilisation du monde, pour le bénéfice de sa caste. Son objectif actuel est de finir de s’arroger tous les pouvoirs et de faire ainsi des citoyens du monde ses serviteurs volontaires ou ses esclaves. Cette oligarchie nous impose la plupart des guerres. Elle agit au nom des Occidentaux, contre leur volonté. Elle les rend donc complices d’incessantes dévastations de pays, de meurtres innombrables et d’humiliations de peuples bienveillants.
Cette «élite» autoproclamée est coupable du désarroi des citoyens du monde face à l’avenir de ténèbres qu’elle leur dessine. L’hystérie du pillage permanent et du gaspillage sans limite gagne sans cesse du terrain parmi ceux qui profitent des guerres et de leurs positions dominantes pour avoir toujours plus de pouvoir. Fondant ses bénéfices plus sur la finance et la destruction que sur le progrès partagé, ses «responsables» se réjouissent à l’avance d’une nouvelle confrontation planétaire et du crépuscule nucléaire qu’ils veulent imposer à l’humanité… Et donc également à leurs propres enfants et descendants!
«C’est le malheur du temps que les fous guident les aveugles», écrivait William Shakespeare.
Ce temps-là est arrivé!

Avec la volonté de peuples courageux et de dirigeants inspirés, il est permis d’espérer que le premier signal pour inaugurer la société du troisième millénaire puisse venir d’un pays du Sud ou d’une grande nation en plein développement. Il est peu probable qu’un pays occidental, enferré dans ses liens avec l’oligarchie financière et l’industrie de la guerre, puisse, d’un seul coup, embrasser des valeurs nouvelles de paix et de progrès pour tous les peuples. En revanche, il est certain qu’avec les démarches présentées plus loin, il sera fort possible pour des régions à la conscience politique acérée, en Occident et ailleurs, de s’investir pour trouver leur vraie place dans leur pays, lequel sera régénéré et vivifié par leurs actions positives.
Ces régions ne pourront qu’être fortement motivées pour transformer leur désir d’indépendance en celui d’être à l’origine de la transformation en profondeur de leur pays avec lequel la volonté de marcher vers un but commun l’emportera rapidement sur les discordes et divergences.
Elles pourront ainsi marquer de leur empreinte la civilisation du troisième millénaire grâce à une participation active dont l’objectif est bien de susciter la construction d’une nouvelle société de paix et de progrès dans la fraternité, et ce, en deux ou trois décennies.
C’est le défi de notre époque, il est urgent de le relever, car la biosphère est véritablement en grand danger.

Des actions citoyennes innombrables sont menées avec courage partout à la surface de notre globe. D’autres voient le jour régulièrement. Face à la précarité de la situation, au refus d’agir ou à l’impuissance de nombre de dirigeants, de plus en plus de citoyens responsables sont à l’œuvre, et ce depuis longtemps. Ils se sont engagés pour refuser l’avenir qu’on leur prépare.
Il suffira d’un signe puissant par-delà les continents pour les voir collaborer efficacement, et de concert se lever.
Refuser énergiquement la troisième guerre mondiale que l’on veut nous imposer est donc la priorité des priorités.

L’appel lancé par Biosphère Pour Demain au président français, Monsieur Emmanuel Macron (copie jointe), est resté sans réponse… pour l’instant. Pourtant, nombre de nos propositions cadrent avec ses préoccupations préélectorales affichées. Elles répondent à nombre de ses engagements. Peut-être attend-il le soutien d’autres dirigeants nationaux et ainsi de trouver les moyens pour s’engager et mettre en pratique les propositions vraiment importantes, comme celles concernant la paix?
Ce sont celles qui sont mises de côté en premier par les politiciens fraichement élus.
Il faut reconnaitre qu’il est très difficile, pour les responsables d’un État, occidental ou pas, de faire abstraction de tous les liens, pour ne pas dire de toutes les chaînes, qui entravent leurs actions.
Cela est encore plus vrai quand ils envisagent de promouvoir la paix et de sortir du cadre fixé par l’oligarchie.
Les conséquences dramatiques et destructrices sont connues de tous. Les exemples ne manquent pas.
Les points de tension se sont multipliés, partout, entre les nations et les peuples depuis des décennies. Un nouveau conflit mondial peut se déclencher à tout moment.
Malgré ce sombre tableau, tout n’est pas perdu, bien au contraire.
Biosphère Pour Demain, en complément de son programme complet, a mis en place une stratégie claire pour contourner cette difficulté immense. Avec la validation de ses propositions par une première région ou un premier pays ou même un premier dirigeant courageux (ou une dirigeante), cette initiative pourrait lancer rapidement la démarche de manière puissante, car, maintenant, le temps presse.

Le but de cette présentation n’est pas de détailler notre programme, évidemment perfectible, évoqué dans la lettre ouverte adressée au président français et disponible sur le site www.biosphèrepourdemain.org.
Il s’agit de mettre en avant une stratégie politique qui réponde aux urgences du moment et à l’intérêt pour les régions ou les États de s’investir dans une perspective à long terme pour insuffler une dynamique constructive.
Les actions prévues pour instaurer la paix et le désarmement des puissances financières mondiales seront le catalyseur. Ensuite, ces actions pourront ouvrir la voie, en cascade, dans tous les domaines d’activité, à un avenir de progrès largement partagé par les peuples de la planète.

Pour instaurer une paix durable, il est important d’agir en même temps à deux niveaux à la fois; les régions et les nations.
Le «Plan Nation du Monde» de Biosphère Pour Demain est adaptable aux deux entités. Il sera évidemment plus difficile de trouver, à court terme, un dirigeant national capable d’instruire et de mobiliser son peuple pour un projet novateur au point d’obtenir une validation à une très large majorité.

Ce n’est malgré tout pas impossible vu la puissante demande de renouveau des citoyens face à l’avenir sombre promis par le nouvel ordre mondial.
Certains pays du Sud, animés par une force démocratique réelle, pourraient aussi en être les premiers exemples, ainsi que les régions de divers pays porteurs d’une forte conscience politique. C’est probablement par eux que nous pouvons trouver le maximum de potentialités pour lancer un tel mouvement.
Le biosphérisme propose les moyens de retrouver une fraternité de cœur par-delà les frontières en bâtissant pas à pas dans la concertation une nouvelle société pour un troisième millénaire de progrès et de paix.

Toutes ces potentialités pourront ensuite se développer avec d’autres États vraiment à l’écoute de leurs peuples qui tous aspirent à une vie meilleure.
C’est ainsi que, en peu de temps, il est possible de changer le cours de l’Histoire.
Cette vision globale positive est portée par des choix pratiques résumés ci-dessous en quelques lignes.

Le «Plan Nation du Monde» est un pacte de paix international entre un État indépendant et la communauté des pays qui ont choisi de devenir des «Nations de la Paix». Il doit être validé par au minimum 2/3 des électeurs.
Ce groupement d’États gèrerait de concert la sécurité des frontières et des intérêts légitimes de l’ensemble des pays participants.

Ce pays renoncerait définitivement à l’usage de l’arme atomique. Il investirait les forces militaires de la nouvelle communauté des pays pacifiques, à sa disposition, en priorité pour défendre le respect de la biosphère sous tous ses aspects et donc les intérêts vitaux des citoyens du monde dans leur ensemble.
Les forces seraient dirigées alternativement par un militaire nommé par le président de chacun des pays signataires.
La mise en commun de ces forces nationales permettrait de baisser les budgets de la Défense de 3 à 5% par an en insistant sur le désarmement et la lutte contre la pollution provoquée par l’usage des armes depuis plus d’un siècle.
L’acceptation du Plan Nation du Monde par les premiers états déclencherait, à coup sûr, un vaste mouvement d’approbation de par le monde. Nul doute qu’en quelques années même les citoyens des pays les plus belliqueux trouveraient le courage d’imposer à leurs dirigeants l’arrêt de la course aux armements et la réorientation des dépenses dans ce domaine.
La réorientation des moyens de recherche militaires vers des activités pacifiques, comme la conquête de Mars, donnerait aux pays initiateurs du mouvement un élan politique, social et économique puissant.
Cela favoriserait en outre l’apprentissage de la sobriété, qualité indispensable qui doit être globalement maitrisée pour que tous les humains puissent, en quelques décennies, vivre dans des conditions décentes sur notre planète.
Pour apaiser les relations entre un État souverain et une région qui souhaite plus d’autonomie, tout pays pourrait signer un pacte tripartite avec cette région et la communauté internationale. En même temps que les États, les régions peuvent jouer un rôle éminent dans l’histoire des civilisations.

L’autre option va donc vers certaines régions.
Sont concernées en premier lieu celles qui, de par le monde, ont une forte conscience politique.
Même si le pays qui les administre est sous l’influence morbide du nouvel ordre mondial, il sera possible de lancer des actions de mobilisation pour faire prendre conscience à l’ensemble des citoyens de ces nations très exposées qu’il existe d’autre choix que le libéralisme.
Surtout que les dangers sont réels, même si certains sont bien cachés, comme ceux de la guerre des devises monétaires, de la corruption ou de la faiblesse de nombreux décideurs toujours sous l’influence des lobbies, dont l’objectif est souvent de prendre l’ascendant sur les institutions élues.
Aussi, les points importants concernent la préservation des identités et de la sécurité face aux dangers portés par l’industrie financière, les sociétés transnationales toutes puissantes et le cruel secteur militaro-industriel qui gère presque totalement la politique étrangère des pays les plus belliqueux.
Avec une assemblée élue, la région aurait le pouvoir et la responsabilité d’appliquer un programme comparable à celui prévu pour les pays indépendants.

Les armées présentes dans la région passeraient sous l’autorité de la commission internationale, aux mêmes conditions que celles prévues pour un pays indépendant.

Les forces de police présentes auraient pour objectif unique le maintien de l’ordre. Elles seraient sous l’autorité de l’assemblée régionale.

La Catalogne peut donner cet élan sous le regard des autres peuples du monde. Pour l’instant, c’est de Corse, dont les organisations politiques ont décidé de renoncer à la violence, qu’est donnée la première impulsion.

En Corse après une large campagne d’information, les acteurs de ce mouvement vont tenter de faire valider le projet politique de Biosphère Pour Demain par l’assemblée régionale corse.
Entre autres dispositions, l’on peut noter le projet de création dans la ville de Corte d’un «tribunal arbitral international et citoyen».
Il sera chargé de juger les atteintes, qu’elles soient écologiques ou contraires à l’intérêt des peuples, portées à la biosphère par des activités économiques trop néfastes.
C’est le contrepoids citoyen à la toute-puissance de l’argent dans les relations commerciales, celles-ci s’étant concrétisées par la création de tribunaux privés au service des multinationales dans des accords comme le CETA.
En cas de succès au référendum local, le gouvernement français sera sollicité pour attribuer à la Corse le statut de «Région de la Biosphère», avec les droits et les devoirs qui vont avec, exposés plus loin.
Ainsi, région après région, progressivement, le pays dans son ensemble pourrait au final faire le choix de signer le Plan Nation du Monde et entrer par la grande porte dans le troisième millénaire.

Dès ce jour du 9 septembre 2017, de Corse, un mouvement essaime ces principes pour faire prendre conscience aux Français continentaux qu’une ère nouvelle peut illuminer le futur de notre pays et de notre planète de ces valeurs fraternelles. Ce sera ainsi à l’initiative des Corses que le choix de se lier avec enthousiasme et pour toujours avec la métropole sera acté.
Une France qui n’aura pas oublié, comme par le passé, les valeurs les plus hautes de la République, avec, certes, maintenant un ordre de priorité différent: fraternité, égalité et liberté.
La France a fait la conquête de la terre de Corse par la force des armes.
La Corse peut conquérir le cœur de la France par la fraternité des âmes.

La Catalogne pourrait être la région suivante qui, au lieu de choisir une indépendance aux conséquences incertaines, pourrait préférer de devenir une «Région de la Biosphère» et fédérer comme jamais une grande partie des Catalans et attirer l’intérêt et la sympathie de tous les Espagnols.
Ainsi, avec l’accord du gouvernement de Madrid, toutes les forces policières ou militaires seraient sous son autorité pour participer aux actions demandées par la communauté internationale des pays pacifiés ayant signé le «Plan Nation du Monde». Ces moyens seraient utilisés pour les besoins dans la région et pour préserver l’intégrité de la biosphère partout dans le monde où cela sera nécessaire.
Cela sera particulièrement utile dans les contrées maritimes qui ne sont pas sous l’autorité d’un pays en particulier.
Ainsi, au lieu d’être une région peut-être un peu trop centrée sur sa propre destinée, la Catalogne deviendrait le porte-drapeau d’une Espagne éclairée, apportant sa pierre à la construction de la société du troisième millénaire.
La région serait en conséquence reconnue pour toutes ses qualités dans son pays et bien sûr dans le reste du monde.
Elle obtiendrait meilleurs statuts, avantages économiques, protection militaire et liberté d’action qu’avec une simple indépendance.

D’autres entités politiques, régionales ou nationales à travers le monde vont probablement ensuite s’inspirer de ces premières démarches. Ces actions vont certainement se soutenir mutuellement et susciter un mouvement commun qui pourrait dynamiser des projets comparables dans des régions où règnent la méfiance ou la loi des armes, comme entre autres le plateau du Golan, l’Irlande du Nord, le Pays basque, l’Ukraine, le Tibet, le Kurdistan et bien d’autres encore.

Les citoyens dont les choix démocratiques sont bafoués auraient ainsi une porte ouverte pour façonner leurs nations avec ces valeurs… les peuples occidentaux ne seraient pas les derniers à en profiter.
Ces actions politiques auraient un impact bénéfique. L’esprit qui les anime ne ferait que s’affermir et se développer. Il stimulerait tous les humains de bonne volonté, qui par-delà les siècles passés et les frontières, croient à la fraternité comme ciment de la civilisation.
Tout est à portée de mainpour les régions dynamiques comme pour les nations à l’écoute de leurs peuples; il ne faut pas en douter.

Des femmes et des hommes d’honneur, célèbres ou pas, ont préparé ce chemin, comme John Fitzgerald KENNEDY et le général Charles de GAULLE.
Les difficultés et les incertitudes ne doivent pas nous empêcher de reprendre le flambeau de JFK, tombé à Dallas en 1963. Même parmi les citoyens états-uniens, nombreux sont ceux qui sont conscients que dès le prochain remous sérieux, qu’il soit économique ou politique le mythe de l’enrichissement éternel des plus riches promis par la haute finance se terminera par un krach. Il sera d’autant plus violent que s’évaporera rapidement la confiance en ces milliards de monnaie-dette, fabriqués tous les jours à partir de rien.

Prendre les devants, rapidement, est d’autant plus nécessaire qu’aucune politique cohérente capable d’assainir la situation n’est sur les rails. Aucune également ne pourra être engagée par les politiciens professionnels occidentaux.
L’unique solution pour ces dirigeants à l’esprit étroit et à la conscience polluée par des intérêts médiocres sera d’activer à fond l’économie de guerre.
Avec cette confrontation nucléaire à grande échelle tant redoutée et si proche, cette caste autoproclamée «élite du monde» est prête à envoyer les jeunesses de la planète dans la plus abominable confrontation de l’Histoire.

Il nous appartient, citoyens responsables, de donner au monde le signal de départ de l’entrée de l’humanité dans cette ère, attendue depuis trop longtemps, où les nations n’apprendront plus la guerre en donnant à la démocratie, née en Grèce il y a 2500ans, ses lettres de noblesse.
D’autres, comme Akhenaton et les grands conquérants, en leur temps et pour les motivations de leur époque, ont réalisé l’impossible avec principalement la force de leurs idéaux.
Pourquoi ne ferions-nous pas une conquête, certes plus grande encore mais pacifique, alors que les valeurs qui sont en jeu maintenant synthétisent les plus hautes aspirations de tous les peuples?

Les procédures proposées par Biosphère Pour Demain, et en particulier le Plan Nation du Monde, ne demandent que volonté et courage pour commencer à changer la vie à la surface du globe pour les humains de bonne volonté, et tous les autres également.
Si le programme proposé est validé par un premier peuple ou un premier responsable national, après l’avoir éventuellement amendé, l’enthousiasme qui les stimulera sera contagieux. Donner un pouvoir étendu aux femmes est primordial pour que le programme ait un impact vraiment puissant.
Celles et ceux qui ont compris la portée de cette ère nouvelle regarderont ces régions et ces nations d’un autre œil.

Ils verront certainement ces terres comme un nouvel eldorado des affaires, mais aussi comme une terre nouvelle pour l’expression de la pensée et de l’esprit du troisième millénaire qui protège la planète.

Immanquablement, les autres peuples s’en inspireront et marqueront eux aussi de leur empreinte l’histoire de l’humanité. Cette volonté ne se concrétisera que par un succès global qui peut très bien aboutir dans le temps d’une génération.

Partout en Occident et ailleurs, des citoyens sont prêts à se lever. Ils attendent un signe.

Cette décision, chacun de nous peut œuvrer pour inciter ses dirigeants à la prendre. Elle sera, et restera, le plus grand fait politique dans l’histoire de l’humanité, aussi longue soit-elle.

Biosphère Pour Demain – Jean-François Dottori-Rey de la Cruz, dit Dakttari.

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