Il est temps de bâtir une nouvelle Société…

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Il est temps de bâtir une nouvelle société…

L’humanité arrive à un stade essentiel de son évolution. Une absence de politique de progrès cohérente et forte au niveau mondial se paye par une dégradation de la situation économique d’un nombre toujours plus grand de personnes. Elles sont de plus en plus nombreuses à n’avoir même pas le minimum pour vivre décemment, et ce sur tous les continents. Le désordre économique, moral et spirituel s’aggravant, la situation semble se détériorer de manière inexorable.

Certains dirigeants politiques paraissent découvrir, seulement maintenant, que leur vision angélique d’une mondialisation débridée n’est pas partagée par tout le monde. Les médias, eux, font la part belle aux constatations, même si elles sont pimentées d’un peu de contestation. Ils laissent peu de place aux propositions. Surtout si elles ont pour objectif d’agir de manière concrète sur les rouages essentiels de la société. Pourtant, seuls des changements profonds sont susceptibles d’amener une époque de réels progrès pour l’humanité dans son ensemble.

Pour atteindre ces buts, il est donc indispensable de bâtir une nouvelle société, ou du moins de régénérer profondément celle dans laquelle nous vivons actuellement. Pour cela, nous devons faire naître un puissant mouvement susceptible d’inspirer les forces les plus dynamiques des groupes d’hommes les plus divers.

C’est l’objectif que poursuit «Biosphère pour Demain»depuis 1989, par des actions incessantes, et ce dans tous les domaines.

L’analyse des évènements mondiaux qui se succèdent actuellement ne peut que conforter cette détermination. Nous devons faire appréhender à des pans de plus en plus grands de la population qu’il n’est pas utopique de s’atteler à la tâche de bâtir une société fraternelle. Nous ferons alors de grands pas vers la défense de l’intérêt général et vers l’épanouissement de l’individu, en abandonnant nos vieux réflexes corporatistes.

L’Occident a les moyens médiatiques et économiques de donner rapidement un essor puissant à une telle initiative. Mais, à ce jour, le constat n’est guère flatteur pour les démocraties les plus anciennes. Un puissant égoïsme à courte vue paralyse les institutions influentes des pays occidentaux, crispées sur leurs avantages actuels. Cette sclérose empêche de s’exprimer les forces vives qui veulent orienter les réformes de la société vers un progrès largement partagé.

Si l’Occident reste réfractaire à cet état d’esprit, il est fort possible qu’une action constructive, concertée entre médias et dirigeants «éclairés» des pays du Sud, avec le soutien des groupements occidentaux les plus dynamiques, pourra amorcer ce profond mouvement régénérateur.

Les propositions de Biosphère pour Demain sont une base sérieuse pour lancer ce débat maintenant indispensable.

Elles décrivent le processus qu’il serait souhaitable de mettre en œuvre pour un État occidental comme la France, processus qui pourrait parfaitement être adapté pour les pays du Sud. Cela serait valable même pour les nations fonctionnant sur un autre régime politique comme la royauté. En faisant la synthèse des avantages respectifs des deux systèmes, le résultat surpasserait tous les modèles démocratiques existant actuellement.

L’idée directrice est de bâtir de nouvelles procédures, souvent dans le cadre des meilleures institutions déjà existantes, comme l’ONU.

Le «Plan Nation du Monde» présenté en détail dans le livre Biosphère pour Demain permettrait de générer dans un premier temps un système de sécurité global, démocratique et universel. Il garantirait définitivement la sécurité des peuples qui en auraient fait le choix et, bien sûr, de toutes les ethnies qui les composent. Le potentiel de l’industrie axée sur la production d’armes serait progressivement orienté vers la production de biens d’équipement pour garantir à tout citoyen du monde le minimum vital. Les femmes pourraient utiliser cette opportunité pour prendre le rôle qui devrait être le leur dans la gestion des affaires politiques. Le Secrétaire général des Nations Unies aurait un rôle de premier plan, éminemment utile. Sans nul doute, cette organisation évoluera avec le temps vers un véritable gouvernement mondial tourné vers le progrès.

Cela permettrait aux pays du Sud de prendre la place politique qui doit être la leur dans le concert des nations.

Une fois ce premier pas franchi, la voie serait ouverte pour améliorer en profondeur le système économique actuel. Sur le plan commercial, la «taxe compensatrice de progrès» permettrait d’établir des rapports équitables entre toutes les entreprises et tous les pays en rééquilibrant les rapports dans 3 domaines:
– l’utilisation de main-d’œuvre,
– la protection sociale,
– la protection de l’environnement.
Cette régulation serait appliquée aux produits exportés. Elle serait intégralement utilisée au bénéfice exclusif de la population du pays concerné. Cette taxe n’aurait pas l’aspect négatif que peuvent avoir les impôts puisqu’elle serait un facteur de développement. La régulation aurait comme autre avantage de favoriser l’emploi de main-d’œuvre en lieu et place des machines.

Ces premières décisions pourraient être mises en œuvre rapidement. Elles traceraient les grandes lignes de cette société d’avenir qui saura assurer la prééminence de l’individu dans son organisation, en plaçant l’être humain au centre de ses préoccupations.
Les pays riches y trouveraient leur compte également, car ces évolutions positives leur permettraient de sortir de l’immobilisme institutionnel qui menace si gravement leur propre destinée. Orienter la marche de l’humanité vers une ère de paix et de progrès est le défi lancé à notre génération.
Nous devons le relever.

Biosphère pour Demain,1989

Biosphère pour Demain est EXCLUSIVEMENT une entreprise de bâtisseurs.
Si, parfois, il est fait un rappel sur des actions de certaines organisations ou personnes, c’est pour permettre aux citoyens de notre époque de mesurer la tâche à accomplir et de comprendre la nécessité de s’investir sans délai.
Nous n’avons ni les moyens, ni l’envie de porter le moindre jugement ou de lancer la moindre action contre quiconque.
Notre seul but est de fédérer toutes les volontés qui veulent, indépendamment de leurs histoires personnelles ou de leurs origines, apporter une pierre aussi modeste soit-elle à la construction de la maison commune: «la société du troisième millénaire».

DAKTTARI

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