Nous ne devons plus accepter, le « Nouvel Ordre Mondial », sa rhétorique,
sa gestion de nos vies avec la mise en cause de l’avenir des générations futures.
Il précipite le monde vers le chaos.
Même s’il ne renoncera pas  à son projet sans lutter;
sans attendre, tournons lui le dos.
Ignorons-le.
Mettons-nous au travail tout de suite,
bâtissons une nouvelle société, maintenant.
« La Civilisation du Troisième Millénaire ».
C’est, aujourd’hui, indispensable.
Voilà le défi de notre génération.
Relevons-le.

 

« Si les gens de cette nation comprenaient notre système bancaire et monétaire, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin.»

« La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l’histoire. » Henry FORD.

C’est nous, la jeunesse du troisième millénaire qui sommes en train de le faire !

« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquise.»

Thomas JEFFERSON (troisième président des États-Unis) en 1802.

 

« Paix sur terre aux hommes de bonne volonté” : la démocratie doit s’accrocher à ce message. « Nous avons dû lutter contre les vieux ennemis de la paix – le monopole industriel et financier, la spéculation, la banque véreuse, l’antagonisme de classe, l’esprit de clan, le profiteur de guerre. Ils avaient commencé à considérer le gouvernement des États-Unis comme un simple appendice à leurs affaires privées. Nous savons maintenant qu’il est tout aussi dangereux d’être gouverné par l’argent organisé que par le crime organisé. Jamais dans toute notre histoire ces forces n’ont été aussi unies contre un candidat qu’elles ne le sont aujourd’hui. Elles sont unanimes dans leur haine pour moi et leur haine me fait plaisir. »

Franklin Delano ROOSEVELT, Président des USA 31 octobre 1936

« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »

NAPOLÉON BONAPARTE (1769-1821), Empereur Français.

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