LA PRÉÉMINENCE DE L’INDIVIDU.

LA SITUATION ACTUELLE.

Notre civilisation est à un stade capital de son histoire.

1 – Dans l’état actuel des choses, l’initiative individuelle est exclue du système de production et des services, par un progrès technologique mal maîtrisé.
2 – La coordination défaillante des relations et des échanges internationaux déstabilise la vie des individus, comme celle des pays.
3 – L’exploitation effrénée des ressources de la planète, sans véritable gestion globale, compromet gravement son avenir.
Cette situation instable et ses conséquences entraînent une augmentation du repli sur soi et du protectionnisme dans de trop nombreux pays.
Cet état de fait est bien souvent accompagné par l’émergence de nationalismes outranciers.
Si une telle situation se développe librement, nous devons nous attendre, l’Histoire nous l’enseigne, à une régression économique et morale, au chômage à une très grande échelle, à la guerre.
Jusqu’à présent, la force a principalement dominé les rapports de l’homme avec son entourage.
Maintenant, l’intelligence doit régir ces échanges.
Cela est vrai pour ses liens avec les autres humains; mais, c’est également vrai pour ses rapports avec son environnement physique.

CRISE SANS SOLUTION OU SIMPLE MUTATION ?

Pour cela, il faut une mutation, une formidable mutation, mais rien de plus qu’une mutation. Elle est trop souvent vécue comme une crise dramatique, uniquement en raison de l’immobilisme de certains acteurs de la vie publique et de la sclérose des institutions.

ESPRIT NOUVEAU, STRUCTURES NOUVELLES.

Les propositions contenues dans cet exposé obéissent à un esprit nouveau. Nombre d’entre elles trouveraient difficilement leur place dans les structures étatiques actuelles. Le pays ou le groupement de pays qui, le premier, serait prêt à réformer ses institutions actuelles, inadaptées, serait favorisé pour aborder les défis du troisième millénaire.
Il pourrait être également à l’origine de la vulgarisation de réflexes nouveaux dans les rapports entre les individus, également entre les citoyens et leurs dirigeants, mais aussi et surtout entre les États.
Les structures à mettre en place doivent être pensées de sorte que leur efficacité soit maximum. Les individus doivent avoir la possibilité de les réformer facilement, voire de les supprimer, si le besoin s’en fait sentir. Tous les règlements, aussi bons soient-ils, finissent par être caducs un jour ou l’autre. Nous devons donc être vigilants en permanence pour éviter que les structures ne finissent par étouffer l’initiative.
C’est la grande difficulté de la tâche des humains dans l’organisation de leur vie sociale. Ils se laissent, petit à petit, conditionnés par des institutions qui les empêchent d’exprimer leur formidable potentiel de créativité.
Si nous arrivions à dégager un espace de liberté plus grand, l’individu pourrait mieux développer sa personnalité et transformer avantageusement son caractère, pour le plus grand bénéfice de la communauté humaine.
En plus de modifier favorablement les conditions de vie des hommes et des femmes, ce nouvel élan devrait être un stimulant pour inciter chacun de nous à prendre un peu plus en charge sa propre destinée…et être un peu plus attentif à ceux qui l’entourent. La mutation des structures de la société est indispensable; celle concernant l’esprit des individus ne l’est pas moins. Elle se fera avec d’autant moins de heurts que les conditions de vie seront plus favorables.

RAPPORTS ENTRE LES PAYS.

Les pays occidentaux doivent être les premiers à faire le tri entre leurs idéaux les plus élevés et les autres.
Ils ne doivent pas ménager leurs efforts pour faire admettre la nécessité vitale d’instaurer partout la démocratie, la liberté individuelle, le respect des droits de l’homme, l’égalité entre l’homme et la femme, le droit à l’éducation, la liberté de l’information etc… même s’ils ont dans ces domaines, encore de grands progrès à faire.
Il est important pour eux de reconnaître leurs faiblesses, s’ils veulent avoir un minimum de crédibilité auprès des autres peuples. Il existe de nombreux exemples où des pratiques qui ont cours dans certains pays nous révulsent. Nous avons oublié qu’elles étaient courantes dans les pays de haute technologie d’aujourd’hui, il n’y a pas si longtemps. Que représentent quelques décennies d’écart dans l’Histoire des civilisations? Pas grand-chose, assurément.
Les occidentaux doivent reconnaître le bien-fondé des critiques qui leur sont adressées. Surtout celles concernant leur facilité à accepter l’industrie sans morale, l’argent sans travail, la science sans conscience, et la soumission de leurs grands principes aux impératifs économiques ou politiques à court terme.
Les raisons pour lesquelles se creuse un fossé, tous les jours plus grand, entre les pays occidentaux et le reste du monde sont là! Quand nous cesserons d’utiliser la force (économique ou militaire) pour appuyer une thèse quelle qu’elle soit, (les meilleures se suffisent à elles-mêmes pour triompher), ils auront remporté la plus belle des victoires… sur eux-mêmes.
Ce jour-là, les Occidentaux comprendront qu’ils ont autant à apprendre qu’à enseigner!
Les peuples de notre planète devraient ainsi se rendre compte que, pour la première fois, ils ont l’opportunité de construire ensemble une civilisation durable. Ils peuvent tous s’impliquer dans ce dessein! La pérennité de cette entreprise ne pourra être assurée que par la poursuite d’un idéal commun de progrès continu et de fraternité.

L’ENJEU.

Le collectivisme s’est effondré en montrant ses limites. Le capitalisme ultra-libéral connaîtra le même sort. Dans un temps aussi court, mais avec des conséquences plus graves encore. En effet, le monde serait alors entraîné dans le chaos. Car, pour l’instant, il n’y a aucune autre voie capable de répondre aux aspirations légitimes de l’être humain. Est-ce excessif de prétendre vouloir être libre, en sécurité, dans une démocratie stable avec les moyens de garder sa dignité en subvenant, par son travail, à la satisfaction de ses besoins fondamentaux? Certainement pas ! De dérives en dérives, la situation nous a mené à l’économie barbare d’aujourd’hui, qui n’a que faire de la dignité des peuples et des individus.
De cela, nous ne voulons plus!
Les actions politiques actuellement engagées dans tous les pays pour résoudre ces problèmes n’ont pas l’envergure adaptée à l’urgence et à la précarité de la situation. Il est impératif d’entamer au plus vite les réformes qui sont indispensables pour construire la nouvelle société. Plus nous tardons, plus nous serons obligés d’agir dans un environnement économique dégradé, avec des contraintes plus grandes
encore. Et cela, sans aborder le problème des turbulences politiques qui ne vont pas manquer de se manifester et donc de compliquer la situation, si nous restons dans l’immobilisme actuel.
Rien d’important ne peut se décider uniquement à l’intérieur des frontières d’une seule nation. Ce mouvement doit naître et se développer dans plusieurs pays en même temps.
La France, après avoir inventé les droits de l’homme, doit-elle inventer le droit des nations?
Le droit des nations au progrès.
Il est permis de se le demander, pour tenter de comprendre les causes des troubles sociaux qui éclatent régulièrement chez nous. Ils sont une manifestation évidente de l’inquiétude qui se répand dans toutes les couches de la population et de sa demande de réformes sérieuses pour construire l’avenir dans la stabilité. La France pourrait donc être l’initiatrice de cette démarche d’avenir avec l’Europe.
L’Histoire de notre communauté européenne est suffisamment imprégnée d’humanisme et de démocratie pour relever ce défi.
Mais, si le « Vieux Continent » est vraiment trop vieux pour bousculer un peu ses traditions
stérilisantes, d’autres grandes zones économiques ont les capacités pour s’engager dans une telle voie.
Les États les plus conservateurs et rétrogrades pourraient ensuite, malgré tout, s’inspirer de cette démarche, si les résultats étaient positifs.
Le prix à payer serait dans ce cas-là bien plus élevé.

NOUVEAUX IDÉAUX.

Il faut donc choisir de nouveaux idéaux de progrès et déterminer les meilleures lois, valables pour tous, permettant d’aller dans ce sens. Ces lois doivent impérativement être guidées par un esprit différent de celui dominant actuellement.
Il doit donner la possibilité à chaque pays de progresser sereinement, dans le respect de ses voisins.

L’ESSENTIEL EST D’INSTAURER UNE LOGIQUE DE PAIX
OÙ CHAQUE PEUPLE, CHAQUE NATION,
LIBRE DE CHOISIR LES VOIES DE SON PROGRÈS,
REHAUSSERA SA DIGNITÉ,
EN APPORTANT LA FORCE DE SES PARTICULARISMES LES MEILLEURS
AU NOUVEL ÉLAN DE L’HUMANITÉ.

De profondes réformes sont donc à appliquer.
Le rythme doit être soutenu, mais, les étapes parfaitement contrôlées.

Voilà le véritable enjeu de notre époque.

La situation peut devenir catastrophique, si nous ne voulons pas voir la réalité en face et si nous continuons à subir des événements faussés par l’ignorance, le calcul et la mauvaise foi.
Mais, cette aventure peut devenir passionnante et enrichissante. Pour cela nous devrons choisir des idéaux de valeur, qui nous guideront dans le choix des outils à utiliser pour améliorer la société.

Actuellement, il faut trouver des solutions à trois grands types de problèmes :

– Le travail et la revitalisation saine de l’économie.
– La paix mondiale et le progrès des pays du Sud pour rendre,
entre autres problèmes,
l’immigration pour raison économique sans objet.
– L’établissement d’un développement durable en harmonie
avec les limites de la planète terre, (la biosphère).

Une notion essentielle doit inspirer cette démarche si nous voulons la mener à son terme:

Assurer la prééminence de l’individu pour, qu’à force de volonté, il puisse vraiment s’épanouir, au plus grand profit de la communauté humaine.

Cette possibilité deviendra réalité, si de nouveaux réflexes s’imposent.
Droiture et imagination doivent prendre l’ascendant sur les habitudes anciennes qui ont déjà donné tout ce qu’elles avaient de positif.
Déterminons, tous ensemble, les meilleurs objectifs à atteindre pour dépasser la situation actuelle.
Chacun sera alors prêt à abandonner quelques avantages particuliers, si tout le monde fait de même.
En effet, nous commençons à évaluer les dégâts provoqués par un individualisme forcené, exacerbé par une société qui fait la part trop belle à la technique et au matérialisme.
Les vieux réflexes corporatistes vont s’évaporer si un nouveau langage, de nouveaux objectifs alliant fraternité et responsabilité des citoyens, guident notre société.

Grâce aux décisions prises, quand cela est nécessaire, par référendum, l’intérêt général deviendra véritablement le credo de tous les acteurs de la vie sociale. Surtout, si les responsables politiques de l’exécutif ont une obligation de résultat, en temps et en heure.
Finalement ces changements bénéficieront en priorité aux individus. Les institutions seront vraiment à leur service. C’est trop souvent le contraire actuellement.
Lutter pour les droits de l’homme est indispensable; mais parler de ses responsabilités est aussi urgent à notre époque.

MONTESQUIEU dans « L’esprit des lois » a bien résumé la façon dont nous devons travailler aujourd’hui.

«Si je savais quelque chose qui me fût utile,
et qui fût préjudiciable à ma famille,
je le rejetterais de mon esprit.Si je savais quelque chose utile à ma famille
qui ne le fût point à ma patrie,
je chercherais à l’oublier.

Si je savais quelque chose d’utile à ma patrie
et qui fût préjudiciable au genre humain,
je le regarderais comme un crime.»

C’est dans cet esprit-là que la réforme a été élaborée.

Sélection.
JFK, répondant au sénateur Capehart,
qui avait exigé que les États-Unis envahissent Cuba :

« Ces gens qui se prennent pour des généraux ou des amiraux,
qui sont prêts à envoyer à la guerre les fils des autres,
et qui ont constamment voté contre les instruments de la paix,
devraient être renvoyés chez eux par les électeurs
et remplacés par des hommes
qui comprennent quelque chose au vingt-et-unième siècle. »
John F. KENNEDY.

Intrigues des Financiers Internationaux

Les Banques, les guerres et les crises

Le Vrai visage de la Banque Federale US

Le Président Abraham LINCOLN et la Banque Federale US

L’arnaque de la Dette
Top Secret

16000 Milliards de Dollars attribués dans le plus grand secret
aux Banques par la FED pour surendetter le monde.

« C’est un cas flagrant de socialisme appliqué pour les riches et forts
et de débrouillez-vous-chacun-pour-soi pour tous les autres. »

Bernie SANDERS Sénateur US

Dernières Minutes

En bon oligarque, Georges SOROS dévoile le dernier plan de l’oligarchie. Comme elle s’imagine proche de son but, elle ne prend même plus de précautions. »Chaos économique, émeutes en Europe et guerre civile aux USA » sont pour demain et donc nous n’avons plus qu’à nous préoccuper de notre survie.
« Dans des moments comme ceux-ci, la survie est la chose la plus importante » nous enseigne le « bon » Georges !
Les 600 camps de concentration aux USA, les « FEMA Camps » n’ont pas été construits pour rien ! Cela revient à chacun de nous d’avoir pour seul espoir d’espérer être dans le bon wagon pour rester en vie et s’estimer heureux de devenir leur quasi-esclave.
Eh bien non, détrompe toi ! ! Georges ! Tu peux dire à tes copains affairistes du « Nouvel Ordre Mondial » et de ses sociétés secrètes que c’est raté.

Nous ne serons jamais les « survivants » de vos manipulations.

Nous sommes et resterons des « vivants », bâtisseurs de la « Civilisation du Troisième Millénaire ».

« Libres et Indépendants » comme le voulait JFK.

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1/3/2012 – Un nouveau documentaire expose au grand jour le plan de folie déclenché par le Nouvel Ordre Mondial www.infowars.com
Texte traduit en français sos-crises.over-blog.com et sur http://resistance71.wordpress.com/
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Regards depuis Athènes http://www.panagiotis-grigoriou.gr/
http://greekcrisisnow.blogspot.com/
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L’offensive des Banques contre la citoyenneté est incessante.
Les paiements en espèces vont être interdits en Allemagne
et les retraits abaissés jusqu’à 0 progressivement dans les autres pays.
Les régimes en place et les banques pourront alors contrôler 100% des échanges entre les gens. « Tout le monde sera alors transformé en esclave de la dette donnant du sang pour remplir des 0 et des 1 dans les ordinateurs des banquiers. »

Ce qui nous attend
si nous ne prenons pas notre destin en mains dès maintenant.
Les 50 chiffres incroyables des USA
http://www.les-crises.fr/50-chiffres-incroyables-usa/

50 Economic Numbers From 2011 That Are Almost Too Crazy To Believe

Vers une Grèce du Tiers Monde
http://www.okeanews.fr/mordorandum/

Comment les multinationales ont exploité la Grèce
http://www.okeanews.fr/comment-les-multinationales-ont-exploite-la-grece-lettre-de-georges-floras-traduction

Paroles d’hommes d’honneur … et de certains autres.

* « Paix sur terre aux hommes de bonne volonté” : la démocratie doit s’accrocher à ce message. « Nous avons dû lutter contre les vieux ennemis de la paix – le monopole industriel et financier, la spéculation, la banque véreuse, l’antagonisme de classe, l’esprit de clan, le profiteur de guerre. Ils avaient commencé à considérer le gouvernement des États-Unis comme un simple appendice à leurs affaires privées. Nous savons maintenant qu’il est tout aussi dangereux d’être gouverné par l’argent organisé que par le crime organisé. Jamais dans toute notre histoire ces forces n’ont été aussi unies contre un candidat qu’elles ne le sont aujourd’hui. Elles sont unanimes dans leur haine pour moi?
et leur haine me fait plaisir. »
Franklin Delano ROOSEVELT, Président des USA 31 octobre 1936

* « Je sollicite votre aide dans l’immense tâche qui est d’informer et d’alerter le peuple américain, avec la certitude qu’avec votre aide l’homme deviendra ce pourquoi il est né : Libre et indépendant. »
JOHN F. KENNEDY

* Rapport du Sénat des USA sur le Krach de 2008 : « Ce rapport montre les dessous d’un assaut économique qui a fait perdre
à des millions et des millions d’Américains leur emploi et leur maison,
et qui a ruiné des investisseurs, des entreprises
et des marchés de qualité à travers le monde »
Carl LEVIN (Sénateur du Michigan) Président du Comité d’enquête.

* « Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit,
sur la terre que leurs parents ont conquise.»
Thomas JEFFERSON (troisième président des États-Unis) en 1802.

« La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l’histoire. » Henry FORD.

«Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde.»
Mahatma GANDHI (1869-1948)

* « Parce que nous devons faire face tout autour du monde à une conspiration massive et impitoyable qui s’appuie d’abord sur des moyens déguisés permettant le déploiement de leur sphère d’influence basée sur l’infiltration plutôt que l’invasion, utilisant la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre-arbitre. » John F. KENNEDY .

« Nous sommes à la veille d’une transformation globale tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter « Le Nouvel Ordre Mondial ». »

David ROCKEFELLER .

* « Si les gens de cette nation comprenaient notre système bancaire et monétaire, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin.»
Henry FORD.»

* « Les sociétés secrètes ont intrigué depuis 1917 pour inventer ou créer une menace artificielle … afin d’amener l’ensemble l’humanité sous le pouvoir d’un gouvernement mondial qu’ils appellent le « Nouvel Ordre Mondial ». » (Bill COOPER, « Behold a Pale Horse »)

* « Derrière le gouvernement siège un gouvernement invisible qui ne doit pas fidélité au peuple et ne se reconnait aucune responsabilité. Anéantir ce gouvernement invisible, détruire le lien impie qui relie les affaires corrompues avec la politique, elle même corrompue,
tel est le devoir de l’homme d’État.»
Théodore ROOSEVELT (1858-1919) –
Président des États Unis, Nobel de la Paix.

* Je crois que les institutions bancaires sont plus dangereuses
pour nos libertés qu’une armée debout.
Celui qui contrôle l’argent de la nation contrôle la nation.
Thomas JEFFERSON (troisième président des États-Unis).

* « Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie
par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi.
Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats.
La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents »
Maurice ALLAIS, Prix Nobel de Sciences Économiques 1988.

* « Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits. »
Sir Josiah STAMP, Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941, Réputé 2e fortune d’Angleterre à l’époque.
«Messieurs, un certain M. John Sherman nous a écrit qu’il n’y a jamais eu autant de chance pour les capitalistes d’accumuler de la monnaie que par « un décret promulgué », selon le plan formulé par l’Association Britannique des Banquiers.
Il donne presque tous pouvoirs à la banque nationale sur les finances de la nation. (…) si ce plan prenait force de loi, il en découlerait de grands profits pour la fraternité des banquiers dans le monde entier.(…)
M. Sherman dit que les quelques personnes qui comprennent ce système ou bien seront intéressées à ses profits ou bien dépendront tellement de ses faveurs qu’il n’y aura pas d’opposition de la part de cette classe, alors que la grande masse du peuple, intellectuellement incapable de comprendre les formidables avantages que tire le capital du système, portera son fardeau sans complainte et peut-être sans s’imaginer que le système est contraire à ses intérêts.
Vos serviteurs dévoués.»
Signé : «ROTHSCHILD frères.»

En 1865, dans une lettre envoyée par le banquier londonien à ses confrères de Wall Street à New York.

* « Le problème récurrent au cours des siècles derniers et qui devra être réglé tôt ou tard est celui du conflit qui oppose le Peuple aux banques. » Lord ACTON, Lord Chief Justice of England, 1875.

« C’est le malheur du temps que les fous guident les aveugles.»

Le Roi Lear (1546-1616).

William SHAKESPEARE, écrivain anglais.

* « Je n’ai jamais vu personne ayant pu, avec logique et rationalité, justifier que le gouvernement fédéral emprunte pour utiliser son propre argent… Je pense que le temps viendra où les gens demanderont que cela soit changé. Je pense que le temps viendra dans ce pays où ils viendront nous accuser, vous, moi, et toute personne liée au Congrès, d’être resté assis sans rien faire
et d’avoir permis à un système aussi stupide d’être perpétué ».
Wright PATMAN, membre démocrate du Congrès.

* « Le courage c’est de chercher la vérité et de la dire ». Jean JAURES.

* « L’orgueil va au devant de la ruine, et l’esprit hautain au devant de la chute. » Proverbes XVI 18.

* « Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »
NAPOLÉON BONAPARTE (1769-1821), Empereur Français.

* « Avant de juger son frère il faut avoir marché plusieurs lunes dans ses souliers. » Paroles d’AMERINDIENS.

* « La Terre n’est pas un don de nos parents. Ce sont nos enfants qui nous la prêtent. » Paroles d’AMERINDIENS.

* « Il n’y a pas de crise de l’Énergie, mais simplement une crise de l’ignorance » Professeur Richard Buckminster FULLER.

* « Les gens doivent être libres de choisir leur propre avenir, sans discrimination ni diktat, sans contrainte ni subversion…
JOHN F. KENNEDY.

* « Des centaines de milliards de dollars sont dépensés chaque année pour contrôler l’opinion publique. » Noam CHOMSKY

* « Toute vérité passe par trois étapes : Au début elle est ridiculisée ; ensuite elle est violemment combattue et enfin elle est acceptée comme évidente. » Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)

* « Il est absurde de dire que notre pays peut émettre des millions en obligations, et pas des millions en monnaie. Les deux sont des promesses de payer, mais l’un engraisse les usuriers, et l’autre aiderait le peuple. Si l’argent émis par le gouvernement n’était pas bon, alors, les obligations ne seraient pas bonnes non plus. C’est une situation terrible lorsque le gouvernement, pour augmenter la richesse nationale, doit s’endetter et se soumettre à payer des intérêts ruineux. Thomas EDISON

* »Ce qui est bon pour Wall Street est mauvais pour l’Amérique. »

Paul KRUGMAN, économiste américain, 2011.

Pour le reste du Monde ce n’est pas mieux surtout si on tient compte des dévastations provoqués par les « terroristes » de la City de Londres, comme les appelle Max KEISER Interviewé par Alex Jones. (Prison Planet)

Max KEISER Interviewé par Alex Jones de http://dl.prisonplanet.tv/
« Vous avez mentionné Madoff, parlons de Madoff une seconde.
C’est intéressant que Madoff, Lehman Brothers, Aig et Global MF soient tous à la City de Londres.
Pourquoi ?
Parce qu’il n’y a qu’à la City qu’il est possible de ré-hypothéquer, c’est à dire de re-prêter des garanties sans engagement.
Ils ont une situation de garantie infinie. Aux USA vous pouvez échanger que 140% des comptes des clients pour un prêt, à la city de Londres il n’y a pas de limites.
AIG, Lehmann Brother, Madoff et MF Global sont à la City pour ça.
Il n’y aucune réserve fractionnelles à la City c’est faisable à l’infini.
C’est pour ça quand David Cameron fait son cirque à Bruxelles où il a dit :
« je vais sauvegarder la City et ne pas participer à la révision du traité. »
Ce qu’il dit c’est que les gens de la City de Londres qui sont à l’épicentre de ce réseau de terrorisme financier mondial disent à Cameron qu’en aucune circonstance ils n’autoriseront quiconque à les réguler de quelque façon que ce soit.
Il obéit à ses maitres.
Donc Cameron s’est précipité à Bruxelles, la queue entre les jambes pour les terroristes financiers de la City qui nous ont balancé, je répète ils ont balancé MF Global, AIG, Lehmann et Madoff et ils sont à l’épicentre de cette décomposition qui a cours.
Ce qui se passe en Europe c’est que les banques craquent. Peu importe la quantité d’argent que la BCE rend disponible pour essayer d’alléger les problèmes de ces banques européennes.
Les hedges funds peuvent créer 10 fois le montant de CDS utilisés, pour détruire ce marché des obligations et faire monter les rendements pour écraser ces pays.
Ils font ça parce qu’ils veulent acheter tous ces actifs pour rien du tout.
On le voit en Grèce ou ils achètent tous les actifs pour rien, on le voit en Irlande les gens sont obligés de donner tous leurs bien pour rien du tout.
Ils veulent faire la même chose en Espagne et en France, ils utilisent ces CDS.
 » C’est ce qui explique la hausse constante des impôts et la promulgation de lois de plus en plus restrictives. Cela permet d’obliger les petites exploitations et commerces à se mettre en faillite.
Ainsi ils peuvent les acquérir, et après les ex-propriétaires deviennent, au mieux, des métayers. »

Max KEISER Interviewé par Alex Jones de http://dl.prisonplanet.tv/

« Le monde est dangereux non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire”

Albert EINSTEIN.

Il est vrai que cela peut se comprendre …

« Certains des plus grands hommes des États-Unis,
dans le domaine du commerce et de la production,
ont peur de quelque chose.
Ils savent qu’il existe quelque part
une puissance si organisée,
si subtile, si vigilante, si cohérente,
si complète, si persuasive…
Qu’ils font bien, lorsqu’ils en parlent,
de parler doucement. »

Woodrow WILSON Président des États-Unis.

L’indignation n’a qu’un temps,
C’est l’action qui donne le tempo.

« Chercher la vérité, c’est être curieux. (se)
Critiquer ses informations, c’est être valeureux.(se)
Dire ses convictions, c’est être courageux.(se) »
Est. Sail.

 » Je pense qu’il n’y a pas un pays au monde, y compris toutes les régions d’Afrique, y compris n’importe quel pays sous domination coloniale, où la colonisation économique, l’humiliation et l’exploitation ont été pires que celles qui sévirent à Cuba, du fait de la politique de mon pays, pendant le régime de Batista »

Propos de JF Kennedy rapportés dans « The New Republic » pendant ses échanges avec Nikita Khrouchtchev et Fidel Castro. Son but était d’éviter la guerre atomique que voulait provoquer l’oligarchie durant la crise des missiles russes à Cuba quelques mois avant sa mort.

JFK ET L’INDICIBLE de James W DOUGLAS
– Editions de la Demi Lune –

« L’égoïsme est inutile et devient donc irrationnel…
La guerre est désormais obsolète … »
Professeur Richard Buckminster FULLER.

LE LIVRE

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