Mary WOLLSTONECRAFT

«J’aime l’homme comme mon compagnon; mais son sceptre légitime ou usurpé ne s’étend pas sur moi, à moins que le mérite individuel ne force mon hommage et dans ce cas-là même je me rends à la raison et non à l’individu.
Dans le fait, l’être qui répond de sa conduite doit la diriger de sa propre raison; s’il en est autrement, qu’on me dise sur quoi repose le tribunal du juge souverain.»

«L’amour dans leur sein remplace les passions nobles et généreuses, leur seule ambition est d’être jolies, de produire l’émotion au lieu d’inspirer le respect, et, telle que la servilité dans les monarchies absolues, la bassesse de ce désir détruit toute la force de caractère. La liberté est mère de la vertu.»

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L’ESPRIT ET L’ART

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