LE TRAVAIL LIBÉRÉ.

Généralités.

Les charges sociales indexées sur les salaires freinent terriblement l’emploi et l’activité économique dans son ensemble. Tout le monde, ou presque, l’admet.
La solution la plus communément admise consiste à transférer ces charges sur le consommateur.
Cela revient à instaurer une TVA toujours plus lourde. La majorité des pays industrialisés privilégiant cette solution, on ne cherche pas plus loin ; c’est une erreur. La demande étant déjà bien faible, le pouvoir d’achat des consommateurs se réduit, à chaque fois, un peu plus. L’application d’une telle mesure est plus néfaste que positive. Les experts du plan prévoient la perte de 100.000 à 250.000
emplois après l’augmentation de deux point de la TVA française! Pour faire bonne mesure, ils ajoutent que cette augmentation induit en plus « une réduction des profits et de la compétitivité au détriment de l’investissement ».

Nouvelles propositions.

Les pistes présentées ici sont originales mais parfaitement adaptées à la situation. Elles ont été, pour l’essentiel, élaborées par Louis Wagner. Les grandes lignes de ce programme vont êtres tracées maintenant. Il n’est pas possible dans le cadre de ce recueil de les présenter dans leur intégralité. Une documentation détaillée est à la disposition de ceux qui en feraient la demande.
Il est important de préciser avant toute chose que ces propositions obéissent à une nouvelle vision de la fiscalité. Elles sont précises et pratiques. Elles apportent une réponse aux besoins de l’État et aux souhaits des citoyens de pouvoir travailler dans les meilleures conditions possibles. Elles n’oublient pas la légitime aspiration du détenteur de capital d’être rémunéré suffisamment pour son investissement.
Elles doivent, aussi et surtout, permettre au capitaliste d’étendre son activité vers le plus grand nombre possible de domaines, (même les plus marginaux, car ils sont pourvoyeurs d’emplois), avec le minimum de risques.
Ainsi, il mettra plus facilement à la disposition des entrepreneurs les moyens financiers indispensables pour développer toutes sortes d’activités.

Principes.

Les grandes idées qui caractérisent cette fiscalité sont les suivants :

Les impôts et les charges sociales ne sont perçues que sur les bénéfices.
Les frais généraux sont plafonnés en fonction du type d’activité de l’entreprise.

Pour le particulier les dispositions sont semblables.

  • Elle simplifie grandement les formalités administratives, elle incite tous les individus à déclarer leurs activités et les employeurs leurs employés.
  • Elle valorise le travail de l’individu dans la société.
  • En un mot elle marginalise la marginalité.
  • Enfin, elle dynamise la consommation.

Voici les principes essentiels qui régissent cette fiscalité pour l’entreprise. Ils sont présentés par L.Wagner ci-dessous :

« L’impôt n’a pas comme unique fonction d’alimenter les caisses de l’État.
Il doit encourager celui qui travaille plus,
avec une marge bénéficiaire normale et beaucoup de personnel,
par rapport à celui qui travaille peu,
avec une marge bénéficiaire forte et peu de personnel. »

C’est plus juste et plus efficace.

« De plus, si la fiscalité est plus légère quand la gestion de l’entreprise est bonne,
et la marge bénéficiaire raisonnable;
l’impôt est personnalisé.
C’est bien mieux. »

LE LIVRE

#BIOSPHERE sur Twitter

@BIOSPHERE sur Facebook

L’ESPRIT ET L’ART

Menu